Il y a un an, Clive Thompson a écrit un article provocateur dans le NY Times Magazine d’aujourd’hui, Brave New World of Digital Intimacy sur les réalités sociales de Twitter et Facebook. C’est l’article qui a introduit le terme, Ambient Awareness. Vous vous souviendrez peut-être comment il a décrit la myriade de relations de liens lâches qui sont désormais possibles avec les plateformes et comment nous gérons les contacts en ligne incessants.
Eh bien, Thompson l’a encore fait, un article fascinant dans le NY Times Magazine d’aujourd’hui, Is Happiness Catching. L’article décrit une étude innovante de Nicholas Christakis et James Fowler, Connected: The Surprising Power of Our Social Networks and How They Shape Our Lives. Quelques points clés dans l’article :
Si vous voulez être heureux, le plus important est d’avoir beaucoup d’amis. Les personnes les plus heureuses à Framingham étaient celles qui avaient le plus de relations, même si les relations n’étaient pas nécessairement profondes.
La raison pour laquelle ces personnes étaient les plus heureuses, c’est que le bonheur ne vient pas seulement d’avoir des discussions profondes, de cœur à cœur. Cela vient de l’exposition quotidienne à de nombreux petits moments de bonheur contagieux. Lorsque vous voyez les autres sourire, votre esprit est affecté à plusieurs reprises en reflétant leur état émotionnel.
Parallèles intéressants avec Ambient Awareness, vous ne trouvez pas ? Si les plateformes sociales comme Twitter et Facebook nous permettent d’avoir des amitiés bien au-delà des nombres théoriques de Dunbar, alors ces relations lâches n’affecteraient-elles pas notre bonheur ?
Christakos et Fowler ont même déterminé que chaque ami heureux supplémentaire augmente la bonne humeur de 9 % et que les amis malheureux font tomber quelqu’un de 7 %. Uh oh, est-ce la prochaine génération du redoutable Twittergrader ?
Sérieusement, c’est une étude fantastique qui examine les avantages de la communauté sur des problèmes de santé graves comme le tabagisme et l’obésité. Jonas Lehrer a également écrit sur l’article de Wired, The Buddy System: How Medical Data Revealed Secret to Health and Happiness. Il existe des graphiques fascinants qui démontrent les effets sur la communauté.
Alors, qu’est-ce que tu penses? Vos réseaux sociaux peuvent-ils affecter votre santé et votre bonheur ?
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