Jack Steiner a récemment écrit un article intéressant sur le défi du « Twitter merci » et cela m’a rappelé ma propre expérience avec ce problème !
Je suis une personne polie. Je pense qu’être poli aide le monde à tourner un peu plus facilement.
Ainsi, lorsque mes articles de blog ont commencé à être re-tweetés, je remercie toujours tous ceux qui m’ont re-tweeté. J’ai pensé que c’était une bonne chose à faire. Maman serait fière.
C’était cool au début et je pense que c’était un bon moyen de renforcer l’idée que j’ai remarquée et j’ai apprécié le partage social. Rien ne dit plus « Je t’aime » qu’un RT de temps en temps !
Sous la limite des 140 caractères, j’ai découvert que je pouvais remercier 5 à 6 personnes en moyenne en un seul tweet. Mais à mesure que mon blog gagnait en popularité, le nombre de tweets que je devais envoyer augmentait également. Cela a commencé à devenir si écrasant que j’envoyais 10 à 12 tweets consécutifs simplement pour remercier les gens.
Et ça a continué à grandir. En fait, mon assistant virtuel suivait la liste sans cesse croissante de tweets de remerciement quotidiens, car cela commençait à prendre beaucoup de TEMPS. Mais j’étais déterminé à être poli. J’étais déterminé à faire savoir à chaque personne qu’elle était appréciée.
Et puis, c’est devenu ennuyeux. Les gens ont commencé à se plaindre. J’envoyais trop de tweets de remerciement. Peut-être des dizaines par jour.
« Vous êtes sacrément trop poli », m’a écrit un adepte. « Arrête de remercier les gens, veux-tu ! »
Je savais qu’il avait raison. J’avais atteint le point de basculement du remerciement. Alors j’ai arrêté.
Cela m’a attristé. Je déteste que plus vous devenez populaire sur le Web social, moins vous pouvez être engageant. N’est-ce pas ironique ? Le caractère très caractéristique que les gens apprécient est voué à l’échec avec le temps. L’engagement authentique sur les réseaux sociaux n’est pas évolutif.
Je me glisse encore un « merci » de temps en temps. Si je vois une nouvelle personne dans mon flux ou un vieil ami qui est un partisan constant, je tweeterai un petit merci.
Mais au fond de moi, je sais que la police de remerciement surveille … alors je modère la façon dont je dispense mes éloges. Sur le web social, on ne peut tolérer la politesse qu’à petites doses ! À droite?
Et au fait… MERCI !