« (…) Twitter ne cherche pas à être racheté, mais à vendre les informations achetées par le flot de milliards de gazouillis lancés par les 54 millions d’utilisateurs mensuels. En théorie, ce flot devrait permettre d’affiner le pagerank puisque nombre de ces messages sont en réalité des liens flottants répétés et donc facilement modélisables. Inversement, ces recommandations échappent aux moteurs et donc effritent leur efficacité. Twitter deviendrait une sorte de sous-traitant des moteurs. Reste qu’il s’agit encore une fois d’un pari, notamment sur la pérennité des accros au service.» (la source)
La valeur du web en temps réel n’est pas passée en aperçue pour Google (en mai dernier Larry Page ne l’a pas caché). Ni pour les autres (le « Web en temps réel » est le sujet de la prochaine conférence LeWeb). JM Salaün débusque tout de même le talon d’Achille de Twitter : étant un réseau social, il est à la merci des usages sociaux, et, comme Second Life, peut passer de l’endroit « hot » en ville à un lieu démodé (voir mon billet sur Second Life, La métaphoe du bar « in »).
Google est dans le marché du « knowledge Just-in time », Twitter serait-il viable dans un marché du « real-time web? »….
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