Eh bien, quelle différence quelques jours font: l’affirmation de la réélection de Sepp Blatter vendredi, « Je suis le président de tout le monde » a duré quatre jours avant qu’il ne démissionne sous la pression des sponsors et les allégations selon lesquelles il est impliqué.
C’est une bonne nouvelle pour les sponsors de la FIFA, qui ont été appelés par les consommateurs du monde entier à utiliser leurs dollars tout-puissants pour débarrasser l’organisation de la corruption généralisée. On ne peut que supposer que la pression des sponsors a joué un rôle dans la démission… ou, du moins, c’est le sentiment général sur les réseaux sociaux (hé, il y a enfin un avantage à être dans la ligne de mire de ce scandale) :
Il s’agissait d’une crise de réputation sans précédent par son ampleur et sa portée mondiale, et les consommateurs voulaient que des mesures soient prises. Avec la démission de Blatter, il est probable que les sponsors de la FIFA pourront le régner sur defcon 1 dans un délai assez court.