Le marketing en ligne a donné naissance à une variété d’options pour ceux qui cherchent à étendre leur portée – bannières publicitaires, marketing d’affiliation et recommandations de contenu. Mais dans quelle mesure ces stratégies sont-elles efficaces pour attirer l’attention des consommateurs ? Jetons un coup d’œil à quelques avantages et inconvénients de chacun.
Le règne de Google AdWords est-il terminé ?
Google AdWords a 15 ans. Oui, dans les années Internet, c’est ancien. Mais même à 15 ans, cela reste l’une des stratégies de publicité en ligne les plus utilisées aujourd’hui.
En 2013, les 25 principaux acheteurs d’annonces de recherche aux États-Unis de Google ont dépensé près de 1,34 milliard de dollars, tandis que le géant de la vente au détail en ligne Amazon était le plus grand annonceur AdWords en 2014, selon Marin Software.
Mais est-ce toujours une option viable pour faire passer le mot en ligne ? Une étude récente d’Infolinks a montré qu’un pourcentage écrasant de consommateurs en ligne souffre désormais de « cécité des bannières publicitaires ». L’étude rapporte :
« [O]ans seulement 14 % des personnes interrogées se souvenaient de la dernière publicité display qu’elles avaient vue et de l’entreprise ou du produit dont elle faisait la promotion. Même avec la technologie de ciblage sophistiquée d’aujourd’hui, la pertinence reste un défi majeur avec seulement 2,8% des répondants déclarant qu’ils pensaient que l’annonce qu’ils avaient vue était pertinente pour eux. »
La cécité des bannières peut servir à quelque chose selon Phillip Porter, analyste de données chez MECLABS : « Si vous payez pour des clics, vous ne voulez pas nécessairement attirer l’attention sur votre annonce. » Mais c’est loin d’être l’idéal.
Des affiliations nuisibles ?
Alors qu’en est-il du marketing d’affiliation ? Payer une commission aux éditeurs en ligne lorsque leur part de votre annonce se traduit par une vente semble être une bonne affaire. Et c’est le cas, en ce qui concerne la proportionnalité des dépenses publicitaires et des revenus. Le fait que les affiliés aient leur mot à dire dans les publicités qu’ils partagent est également très agréable. Et elle bat la publicité au paiement par clic, où les dépenses sont basées sur le trafic, ce qui POURRAIT générer des revenus. Ou pas.
De plus, le marketing d’affiliation n’est pas sans problèmes. Un article récent de Forbes a rapporté que les soi-disant « voleurs affiliés » coûtent aux entreprises des millions de dollars en revenus publicitaires. « [U]Les serveurs téléchargent des barres d’outils qui, à leur insu, contiennent un codage qui donne aux affiliés de marketing en ligne la possibilité de réquisitionner des recherches, même lorsque l’utilisateur tente d’accéder directement au site Web de votre entreprise. Avec un codage sournois, les barres d’outils des navigateurs des utilisateurs imposent des codes d’affiliation et des cookies de suivi sur les navigateurs des utilisateurs. »
Ajoutez le fait que Google peut vous pénaliser pour avoir utilisé trop de liens marketing d’affiliation, et que Pinterest a complètement interdit les liens d’affiliation, et cette stratégie semble moins être la réponse à vos prières.
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Donc, si Google AdWords et les liens d’affiliation ne sont pas tout ce qu’ils sont censés être, que reste-t-il ?
Recommandations de contenu.
Qu’est-ce qui rend les recommandations de contenu supérieures aux bannières publicitaires et au marketing d’affiliation ? Non seulement il s’agit d’une approche moins intrusive, mais elle pourrait en fait améliorer l’expérience utilisateur au lieu de la nuire. Et, si vous choisissez le bon réseau, vous pouvez obtenir plus pour votre budget publicitaire qu’avec d’autres options en ligne.
Le marketing de recommandation de contenu n’est pas nouveau, bien sûr. Quiconque a consommé du contenu en ligne a vu ces sections « également du Web » ou « vous aimerez peut-être aussi » à la fin des articles en ligne. Ceux-ci sont une gracieuseté de fournisseurs de recommandations de contenu comme Outbrain, Revcontent et Taboola – qui offrent un service similaire à l’invite « Les clients qui ont acheté cet article ont également acheté » d’Amazon.
La beauté des fournisseurs de recommandations de contenu réside dans la sophistication des outils qu’ils proposent.
Vous pouvez exécuter des tests A/B avec Taboola, ou optimiser par les éditeurs avec le meilleur retour sur investissement en utilisant Outbrain. Ou profitez de la technologie de « reciblage d’audience » via Revcontent. Cet outil « d’abord dans l’industrie » permet aux éditeurs de « recibler » les consommateurs qui ont déjà interagi avec leurs sites, augmentant ainsi la notoriété et l’engagement de la marque.
Et contrairement aux publicités – qui ressemblent toujours à des publicités – la recommandation de contenu ressemble davantage à un service permettant de gagner du temps. Comme si l’éditeur disait : « Avec tout ce qu’il y a à lire, voici certaines choses que nous savons que vous aimez, basées sur le fait que vous êtes ici maintenant. »
Et tout ce qui semble personnel sur Internet est une bonne chose.
Vous seul pouvez décider quel type de publicité est le mieux pour votre entreprise à la fin, et quoi que vous choisissiez, tant que vous obtenez les résultats que vous voulez, tout va bien. – Mais avec des stratégies marketing si axées sur le contenu en ce moment, une stratégie qui fonctionne AVEC cela a certainement du sens.
CRÉDIT D’IMAGE : KRISTIN WALL
